Ce week-end s’est déroulé le 5ème triathlon d’Andrésy, épreuve de type sprint (750m de natation, 20 km de vélo et 5 km de course à pieds), qualificative pour les championnats de France. Cette épreuve, intégralement organisé par le club et ses adhérents, a rassemblé plus de 300 concurrents (dont beaucoup de pointures de la discipline !) et mobilisé près de 200 bénévoles !
Mais pourquoi parler du triathlon d’Andrésy sur le blog d’Ippon ? Tout simplement parce qu’Ippon Technologies a choisi de devenir le sponsor principal de ce club.
Les gènes d’Ippon
Les valeurs du sport sont dans l’ADN d’Ippon. La persévérance, le dépassement de soi, la recherche de la performance sont quelques unes des qualités essentielles de tout sportif, et ce sont justement celles qui font bien souvent les meilleurs ingénieurs dans notre domaine où l’innovation repousse toujours plus loin les limites des systèmes informatiques.
L’engagement d’Ippon Technologies vis à vis du monde du sport ne date pas d’hier et ne se limite pas au monde du Judo avec qui les liens ont toujours été serrés. On a pu ainsi s’approcher du rugby, de la course à pieds et même du roller pour un 24h du Mans avec une équipe parrainée par Ippon !
Avec le triathlon, c’est d’un coup trois sports qui se rapprochent de notre culture informatique.
L’analogie du triple effort
La notion de “triple effort” peut représenter des choses bien différentes. Prenons, au hasard, un projet informatique. Il va traditionnellement enchaîner 3 étapes :
- Les spécifications fonctionnelles et techniques, qui vont poser précisément les objectifs et l’architecture du projet
- La réalisation, qui constitue généralement la phase la plus longue et celle où l’essentiel est bien souvent de garder le rythme, sans pour autant « se cramer » par trop de soirées de codage / debuggage…
- Et enfin la recette, sorte d’aboutissement pour lequel il faut néanmoins garder quelques forces, car la lutte pour aboutir à un système pleinement fonctionnel et totalement conforme aux attentes du client peut se révéler une épreuve de fond…
Cette enchaînement, on le retrouve dans le triathlon, où la première épreuve de natation n’est généralement qu’une mise en bouche, avant d’attaquer la séance de vélo, longue et usante, avec dans la tête le final de course à pieds, qui tout seul représenterait déjà pour beaucoup un exploit en soi…
Très vite on s’aperçoit que le triathlon ne se réduit pas aux trois sports qu’il agrège : l’enchaînement des trois épreuves et la gestion de l’effort qui en découle forme une quatrième discipline, invisible et pourtant primordiale : la gestion de son corps et de ses forces.
L’analogie avec le monde du projet est là encore flagrante : sans une gestion de projet rigoureuse et une méthodologie adaptée, le simple enchaînement des phases mentionnées précédemment ne conduit pas nécessairement au succès…
Un dernier mot
La devise du club d’Andrésy tient dans une règle dite des 3 ‘P’ pour « Performance, Progrès, Plaisir ».
Cette devise peut elle aussi résumer un état d’esprit très Ipponien, où l’objectif de progrès et de performance est constant, sans pour autant que cela ne se fasse sans un certain plaisir !