Le brillant parcours d'Antoine chez Ippon

Ippon, c’est avant tout une équipe de talents qui essaie d’être toujours meilleure dans ce tout qu’elle entreprend. C’est cette détermination qui fait la force d’Ippon.

Penchons-nous sur Antoine, un Ippon au parcours brillant qui nous a accordé une interview.

Bonjour Antoine, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Salut, je m’appelle Antoine, j’ai 24 ans, je suis un tout jeune ingénieur diplômé de l’UTC, j’ai effectué mon stage de fin d’études chez Ippon Technologies qui m’a embauché ensuite en Février 2015.

Qu’est ce qui t’a plu chez Ippon ?

J’apprécie le contact avec les autres, le fait que tout le monde est prêt à t’aider si tu en as besoin, l’accueil fait aux nouveaux venus, cet esprit d’équipe renforcé avec toutes les activités proposées à côté du travail. En plus, il y a un babyfoot.

Une autre chose qui me plaît chez Ippon, c’est la possibilité de me former. Il y a les ippevents, les codings dojos, on peut aller à une conférence dans l’année (j’ai choisi le Devoxx) et discuter avec les experts d’Ippon pour leur soutirer leur savoir..

Quelles ont été les différentes étapes depuis que tu es chez Ippon et comment est-ce que le management t’a encadré ?

J’ai commencé chez Ippon en stage avec comme tuteur Julien Dubois. je souhaitais faire un stage ayant pour thème principal le Big Data, donc j’ai été amené à travailler avec Alexis Seigneurin et Jérome Mainaud. J’ai été accompagné tout au long du stage par la personne qui m’avait recruté. Elle s’est chargée aussi de mon embauche en fin de stage.

Sur quoi travailles-tu en ce moment (tu peux rester générique si tu ne peux pas citer ton client) ?

Je suis sur une mission Hadoop dans une entreprise française.

Je travaille sur plusieurs sujets à la fois comme l’offload de données dans Hive, la gestion du cluster Hadoop de développement, la montée de version de ce cluster, l’intégration de données semi-structurées et structurées dans Hive via Flume.

Dans quelques mois, nous devrions monter un cluster Apache Spark à l’extérieur du cluster Hadoop pour différents besoins.

Parmi les projets sur lesquels tu as travaillé, lequel as-tu préféré ? Pourquoi ?

Parmi les projets sur lesquels j’ai travaillé, il y en a un qui ressort par rapport aux autres, c’est le PoC Cassandra avec Jérôme Mainaud.

C’est ce projet qui ressort le plus même si je n’ai travaillé dessus que deux semaines, principalement parce que c’était la première fois que je me déplaçais pour aller chez un client, j’avais aussi une certaine pression par rapport à la mission (savoir si j’étais à la hauteur de ce qui m’était demandé). Et au final, c’était une expérience très enrichissante, Jérôme m’a bien encadré, il me montrait mes erreurs, m’expliquait comment les éviter.. Et c’est gratifiant d’avoir pu prendre part (même si ce fut très court) à la réalisation de ce PoC qui fut concluant.

Je rajouterais quand même qu’un autre projet m’a beaucoup plus durant mon stage chez Ippon, c’est l’élaboration d’un connecteur Dropwizard Metrics/Apache Spark. Ce connecteur a découlé de l’idée de Julien Dubois de voir comment il était possible d’exporter des métriques d’une application JHipster vers Spark. Toute la démarche qui a permis de créer ce connecteur m’a beaucoup appris et ce fut gratifiant de mettre ce code sur le Maven Central.

Pour toi, quelles sont les qualités indispensables d’un bon développeur ?

J’aurais tendance à dire la curiosité avant tout. Si on est pas un minimum intéressé par ce qu’on fait, on ne se posera pas les bonnes questions pour progresser.

Une autre qualité indispensable pour moi et qui n’est pas facile à avoir tout le temps, c’est la persévérance, dans le sens où il ne faut pas abandonner lorsqu’on est bloqué.

Et aussi une certaine capacité à communiquer avec les autres parce dans un projet, on est forcément en relation avec d’autres personnes.

Enfin, aurais-tu un conseil à diffuser pour ceux qui débutent ?

Vu que je débute moi aussi, je ne sais pas si ce que je vais dire est pertinent mais je dirais qu’il ne faut pas hésiter à aller vers les autres, à des conférences, à suivre les conseils des vieux de la vieille. Pour moi, c’est un bon moyen de progresser quand on débute.

Merci à Antoine pour avoir pris le temps de répondre à notre interview.